Donoré - Mayra Lyrics

D'où vient cette voix
Cette grâce
De quel pays
De quels rivages
D'où vient ce nectar
Qui provoque mon idylle
Dis-moi ton histoire
Jeune Mulata des îles
Quelle est cette Terre
Qui flotte sous le vent
Cet ailleurs que rêveur
Je visite souvent
On dit que parfois
Des étoiles éternelles
Fleurissent d'émoi
Au chant d'une sirène
J'ai
Tendu l'oreille au ciel
C'était un soir d'été
Écouter l'ange qui émerveille
Et qui parfume l'éternité
Et jusqu'au souffle de
l'aurore
Je t'ai écouté comme ça
J'ai dans la tête un pur trésor
La fragile douceur de ta voix
D'où vient cette force
Magique et sereine
Cette onde qui ricoche
Sur l'imaginaire
Une mélodie
Qui s'envole de toi
D'ici au paradis
Au jardin de ton âme
Quel est ce créole
Et ce Portugais
Ces mots tournesol
Traînent un goût sucré
Ferme encore tes paupières
Et parsème l'horizon
De pétales de lumière
De graines de passion
J'ai
Tendu l'oreille au ciel
C'était un soir d'été
Écouter l'ange qui émerveille
Et qui parfume l'éternité
Et jusqu'au murmure de
l'aurore
Je t'ai respiré comme ça
J'ai dans la tête un pur trésor
La fragile douceur de ta voix
Et dans mes rêves
J'entends encore
La caresse de ta voix
Mayra

D'où vient cette voix
Cette grâce
De quel pays
De quels rivages
D'où vient ce nectar
Qui provoque mon idylle
Dis-moi ton histoire
Jeune Mulata des îles
Quelle est cette Terre
Qui flotte sous le vent
Cet ailleurs que rêveur
Je visite souvent
On dit que parfois
Des étoiles éternelles
Fleurissent d'émoi
Au chant d'une sirène
J'ai
Tendu l'oreille au ciel
C'était un soir d'été
Écouter l'ange qui émerveille
Et qui parfume l'éternité
Et jusqu'au souffle de
l'aurore
Je t'ai écouté comme ça
J'ai dans la tête un pur trésor
La fragile douceur de ta voix
D'où vient cette force
Magique et sereine
Cette onde qui ricoche
Sur l'imaginaire
Une mélodie
Qui s'envole de toi
D'ici au paradis
Au jardin de ton âme
Quel est ce créole
Et ce Portugais
Ces mots tournesol
Traînent un goût sucré
Ferme encore tes paupières
Et parsème l'horizon
De pétales de lumière
De graines de passion
J'ai
Tendu l'oreille au ciel
C'était un soir d'été
Écouter l'ange qui émerveille
Et qui parfume l'éternité
Et jusqu'au murmure de
l'aurore
Je t'ai respiré comme ça
J'ai dans la tête un pur trésor
La fragile douceur de ta voix
Et dans mes rêves
J'entends encore
La caresse de ta voix
Mayra